Coalition suisse pour la diversité culturelle Schweizer Koalition für die kulturelle Vielfalt
Coalizione svizzera per la diversità culturale
Coaliziun svizra per la diversitad culturala
Unesco-Konvention 2005: Beiträge der Zivilgesellschaft
zum Staatenbericht der Schweiz 2001
Alle vier Jahre senden die Signatarstaaten einen Fortschrittsbericht über die Entwicklung der Vielfalt kultureller Ausdrucksformen und die Bemühungen zu deren Erhalt und Entwicklung. Darin enthalten sind auch Stellungnahmen der Zivilgesellschaft und Beispiele für «Best practices» in den Jahren 2016-2019. Unsere Koalition sammelt diese im Auftrag des Bundesamts für Kultur, das den Bericht verfassen und zu einem späteren Zeitpunkt zur Diskussion stellen wird.
Bitte senden Sie uns bis zum 25. November 2019 einen Kurzbeschrieb von Ihrem erfolgreichsten solchen Projekt (oder von mehreren Projekten) mit Angabe von
1) Name der Massnahme, Durchführungszeitraum, Webseite (falls vorhanden)
2) Kontaktdaten der projektverantwortlichen Person (für weitere Auskünfte)
3) Kurzbeschrieb des Projekts und der Resultate/Erfolge
Teilen Sie uns bitte zudem mit, was aus Ihrer Sicht bzw. aus der Sicht Ihrer Tätigkeitsbereiche und Ihrer jeweiligen Mitglieder im Hinblick auf den Schutz und die Förderung der Vielfalt kultureller Ausdrucksformen für die nächsten vier Jahre die wichtigsten Herausforderungen sind.
European Coalitions: Open Letter on «Creative Europe»
The European Coalitions have signed a letter that ask for an increased budget of Creative Europe.
The European Council and EU Member States – that decides the envelop that goes to Creative Europe - will have discussions on the future EU budget on 12/13 December 2019 and will continue to do so in early 2020. The initiators of this letter (music composers, film directors, labels, book publishers and theatres) felt that it is time to advocate for a stronger budget for the Creative Europe programme.
6e Congrès de la FICDC: Élection d’un nouveau conseil d’administration et de nouveaux officiers
À l'occasion du congrès de la Fédération internationale des coalitions pour la diversité culturelle (du 9 au 11 octobre 2019 à Lomé au Togo), les membres de la FICDC ont élu un nouveau conseil d'administration pour les quatre prochaines années.
Ces nouveaux élus ont ensuite désigné les nouveaux dirigeants de la FICDC. Voici la composition du conseil d’administration de la FICDC:
La direction de la FICDC est complétée par Nathalie Guay, secrétaire générale.
Lors de l’Assemblée générale, les délégués ont identifié les priorités et discuté des plans d’action pour les années à venir. La FICDC travaillera au cours des trois prochaines années sur les accords de commerce, la diversité des expressions culturelles en ligne, la mobilité des artistes et les données sur la diversité des expressions culturelles. Elle se mobilisera aussi en vue de renouveler l’intérêt pour la Convention de 2005 et continuera de faire un suivi de la Convention en assurant la participation de la société civile.
Le prochain Congrès de la FICDC aura lieu en 2022-2023.
Déclaration de Lomé pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles
Réunis dans le cadre du 6e Congrès de la Fédération internationale des coalitions pour la diversité culturelle (FICDC), les participantes et participants à la conférence régionale « Perspectives panafricaines pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles » déclarent que :
Malgré les progrès réalisés depuis l'adoption de la Convention de l'UNESCO de 2005, il reste encore beaucoup à faire pour assurer une participation régulière et adéquate des représentants de la société civile à la conception, à la mise en œuvre et à l'évaluation des politiques et mesures visant à protéger et promouvoir la diversité des expressions culturelles, ainsi que pour assurer l'élaboration et l'exécution des plans nationaux pour la culture. Bien que les rapports périodiques quadriennaux (RPQ) actuels permettent l'établissement d'une analyse multipartite des réalisations des gouvernements et des autres parties prenantes dans leurs engagements envers la réalisation des objectifs de la Convention, on documente peu le soutien à la participation active de la société civile dans les autres instruments de la Convention. De plus, les violations flagrantes des droits des artistes et professionnels de la culture sont exclues des RPQ, notamment ceux du Sud. Les gouvernements ayant la responsabilité première de soumettre les RPQ à l'UNESCO ne veulent pas montrer leur bilan en termes de droits humains sous un mauvais jour. En conséquence, la société civile du Sud appelle à la nécessité d'établir des rapports alternatifs sur les RPQ.
La promotion des langues locales doit être à l’ordre du jour pour viser une plus grande diversité des expressions culturelles.
Il faut mettre un terme aux abus et à la violence dont sont victimes les femmes dans le secteur culturel. Les acteurs culturels sont encouragés à introduire une perspective de genre dans leurs activités, aménager des espaces respectueux (safe space) et chercher à atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes en termes d’opportunités et de rémunération. Les données sur le secteur culturel doivent rendre visible la contribution des femmes.
Les artistes, les auteurs et professionnels de la culture ont droit à une juste rémunération. Les États doivent adopter des lois, garantir leur mise en œuvre et lutter contre le piratage des expressions culturelles. Les bureaux nationaux ou régionaux de droits d’auteur doivent étendre leurs activités à tous les lieux, supports et occasions où les œuvres des créateurs sont exploitées. - La voix de la société civile peine parfois à se frayer un chemin à l’extérieur des frontières nationales, notamment quand vient le temps de dénoncer des atteintes aux libertés et droits fondamentaux. La liberté, les droits fondamentaux et la libre circulation des créateurs doit être respectée pour assurer une diversité des voix et des expressions culturelles à travers le monde.
Les activités, biens et services culturels doivent être exemptés des engagements pris dans les accords de commerce en raison de leur double nature, culturelle et économique. Des clauses de traitement préférentiel pour les pays en développement doivent être introduites dans les accords.
Les États doivent déployer des stratégies concrètes pour assurer la mise en œuvre de la Convention pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles dans l’environnement numérique. Ces stratégies doivent assurer un accès adéquat à Internet pour toutes les populations présentes sur le territoire national. Elles doivent favoriser une offre d’expressions culturelles diversifiées et locales sur le Web, capable de rivaliser avec celle des géants du Web.
Suite à la discussion sur la nouvelle Zone de libre-échange continentale (ZLEC), il a été recommandé que le guide de négociation pour l'incorporation de clauses basées sur la Convention de 2005 dans les accords commerciaux ainsi que l'analyse de la ZLEC, qui sera développée prochainement par Arterial Network, soient largement diffusés pour être affinés. Il a aussi été recommandé qu’ils fassent l'objet d'un débat officiel au prochain Congrès culturel panafricain de l'Union africaine et au Forum de la société civile de l'UNESCO à Paris.
Les participants au 6e Congrès de la FICDC s’engagent à travailler de concert pour favoriser l’atteinte de ces objectifs d’ici la prochaine rencontre de la FICDC en 2022-2023. Les participants issus du continent africain réaffirment leur désir de poursuivre un dialogue régional sur ces enjeux et de dépasser les clivages linguistiques qui sont encore trop importants.
Lomé, 10 octobre 2019
Kulturbotschaft des EDI: Stellungnahme der Koalition
Die Koalition hat ihre Stellungnahme zum Vernehmlassungsentwurf der Kulturbotschaft 2021–2024 des Bundes ans Parlament erarbeitet.
Medienförderung: Der Bundesrat will rasche Massnahmen
Der Bundesrat hat sich an einer Medienkonferenz am 28. August 2019 für wirkungsvolle und rasch umsetzbare Schritte zur Unterstützung von Online-Medien und Zeitungen ausgesprochen.
Er will dem Parlament im ersten Halbjahr 2020 ein Massnahmenpaket zur Förderung der Medien unterbreiten. Dieses sieht finanzielle Mittel zur Unterstützung der Online-Medien vor. Zudem sollen mehr Tages- und Wochenzeitungen als bisher von der indirekten Presseförderung profitieren. Auf ein neues Bundesgesetz über elektronische Medien wird auf Grund der Vernehmlassungsergebnisse verzichtet: Hauptforderungen in der Vernehmlassung waren aus der Sicht des Bundesrates die Sicherung des regionalen Service public von Radio und Fernsehen und eine höhere finanzielle Unterstützung der Presse, die im Entwurf nicht erfüllt waren.
Obwohl mehrere medienpolitische Vorstösse im Parlament hängig sind, will der Bundesrat nicht zuwarten und hat sich deshalb für Schritte entschieden, die mit der geltenden Verfassungsgrundlage rasch umsetzbar sind.
Der Bundesrat will die Online-Förderung vorerst zeitlich befristen und vor dem Auslaufen auf ihre Wirksamkeit hin evaluieren und hat das UVEK beauftragt, in der Botschaft Förderungskonzepte vergleichbarer Länder auf ihre Tauglichkeit hin für die Schweiz zu prüfen.
Die Stossrichtung der Vorschläge entspricht durchaus den Positionen der Koalition. Entscheidend wird sein, wie bei Online-Medien das Anknüpfen der Förderung an die «Kostenpflichtigkeit» verstanden wird.
Hingegen scheinen sich die Pläne weiterhin ausschliesslich auf den demokratiepolitischen Aspekt der medialen Kulturtätigkeit zu beschränken. Die Medienmitteilung erwähnt weder den laufenden Abbau der medialen Kulturproduktion – Orchester, Literatur, Film usw. – noch den schwindenden Diskurs über die Künste oder den Abbau der Fachkritik, also die geistigen und wirtschaftlichen Leistungen der Medien für die Vielfalt des Kulturschaffens.
Zu einem «Austausch zur Zukunft der Medien» mit «Vertreterinnen und Vertretern der Medienbranche, von Organisationen und Behörden», den BR Sommaruga im Mai veranstaltet hat, waren denn auch weder die Kulturschaffenden noch Vertreter der Kulturwirtschaft eingeladen.
Ständeratskommission unterstützt Motionen zur Pressevielfalt
(pd) Einstimmig hat die Kommission für Verkehr und Fernmeldewesen den parlamentarischen Initiativen Stefan Engler (Unterstützung für die Presse in der digitalen Transformation, 18.479) und – mit 8 zu 3 Stimmen bei 1 Enthaltung – von Géraldine Savary (Die indirekte Unterstützung der Presse muss verstärkt werden,18.480) Folge gegeben.
Die Kommission weist darauf hin, dass die gedruckte Presse, die für die Meinungsbildung in der Schweiz nach wie vor eine Schlüsselrolle einnimmt, mit existenziellen wirtschaftlichen Herausforderungen konfrontiert ist. Um ihre Zukunftschancen zu wahren, müssen die Printmedien nach Ansicht der KVF sowohl die digitale Transformation meistern als auch weiterhin auf Papier erscheinen. Mit der von den Initiativen verlangten Erweiterung der indirekten Presseförderung sollen sie dabei rasch und effizient unterstützt werden.
Um bei der künftigen Diskussion um die genaue Ausgestaltung der Presseförderung auch den längerfristigen Horizont einer möglichen Verfassungsänderung einzubeziehen, hat die Kommission ausserdem einstimmig der Pa.Iv. Lombardi. Medien in die Bundesverfassung (18.473) Folge gegeben. Medienmitteilung
Auch hier wird die «indirekte» Presseförderung wiederum nur mit den Leistungen für die Meinungsbildung und Meinungsvielfalt begründet; das Schwinden der kulturellen Produktion der Medien bleibt erneut ausser Betracht. Lombardis Text redet wenigstens noch von «kultureller Entfaltung».
6e CONGRÈS DE LA FICDC
Le prochain Congrès de la Fédération internationale des coalitions pour la diversité culturelle aura lieu à Lomé, au Togo, du 9 au 11 octobre 2019. Il se déclinera en une conférence panafricaine et une assemblée générale de la FICDC. En savoir plus/Mehr...
Der Bundesrat hat die Vernehmlassung zur Botschaft über die Förderung der Kultur für die Periode 2021–2024 eröffnet. Er legt darin einen Schwerpunkt auf den digitalen Wandel in der Kulturförderung. Die Vernehmlassung dauert bis am 20. September 2019.
Einen Überblick über Hilfsaktionen in Deutschland bietet nachtkritik.de (nachtkritik.de
Schweizer Medien: Widerstand gegen Zentralisierung formiert sich
Nachdem sich schon die Präsidenten von SP, CVP, BDP und SVP mit einem Brief an die SRG-Direktion gewandt haben, wurde nun auch der breit abgestützte Verein «Pro Idée suisse» gegründet, der sich gegen die zunehmende Zentralisierung des Medienschaffens engagieren will.
Im Fokus stehen nicht nur die Umbaupläne betreffend die Programmschaffenden im Berner Studio, sondern generell eine vielfältige Medienpolitik: «Technokratisch-autoritär geführte Einheitsstrukturen zerstören den Journalismus». Pro Idee suisse
Pour le maintien de la création musicale à l'antenne de France Musique
Une pétition mobilise pour le maintien des émissions "A l'improviste", "Le Cri du Patchwork", "Le Portrait Contemporain", "Tapage Nocturne", "Couleurs du Monde Ocora" à l'antenne de France Musique à la rentrée 2019.
«La décision de suppression de ces émissions constitue une rupture totale avec la charte de Radio France qui préconise un programme musical présentant les divers genres musicaux, favorisant la création musicale et la musique vivante.»
Les Coalitions européennes pour la diversité culturelle (CEDC) se félicitent vivement de l'adoption de la directive sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique par le Parlement européen.
Après des années de débats et de campagnes passionnées, les députés ont adopté hier un texte législatif essentiel qui vise à adapter le droit d'auteur au monde numérique. La directive, lorsqu'elle sera mise en œuvre dans les États membres, garantira que les créateurs, y compris les auteurs, les artistes et les travailleurs de la création, pourront gagner leur vie équitablement grâce à leur travail créatif à l'ère numérique.
Les CEDC remercient les députés européens d'avoir approuvé ce texte qui est si essentiel pour soutenir la diversité culturelle et qui touche au cœur même de la création culturelle de l'UE.
«Les créateurs pourront bénéficier d'une part plus équitable des énormes revenus de l'Internet et créer ainsi des œuvres plus diversifiées pour nous tous. Nous attendons maintenant avec impatience la mise en œuvre de la directive dans chacun des États membres de l'UE.» (Carole Tongue, Présidente des coalitions européennes)